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  • La vérité sur l'impact environnemental des emballages

    La vérité sur l'impact environnemental des emballagesSelon une étude commandée par Tetra Pak, La brique alimentaire, par rapport aux autres emballages, a de loin l'empreinte écologique la plus faible, tant en termes d'émissions de gaz à effet de serre, que de consommation des ressources naturelles et d'énergies non renouvelables.

    Chaque année, les français consomment plus de 5 milliards d'emballages pour le lait et les jus de fruit. Si ces emballages sont indispensables pour conserver, ils affectent également l'environnement dans leur production et leur mise au rebut. Afin de clarifier et de bien mesurer cet impact, Tetra Pak, leader industriel de l'emballage carton a fait réaliser une étude comparative qui prend en compte l'ensemble du cycle de vie des principaux emballages présents sur le marché français.

    Quelques éléments de méthodologie

    De la production au recyclage éventuel, l'ensemble des étapes de vie des principaux emballages a été analysé sur la base de plusieurs grands indicateurs environnementaux . Ainsi, bouteille plastique PEHD(1) (lait), bouteille plastique PET(2) (jus), bouteille verre, emballages carton de Tetra Pak ont été passés au crible de Bio Intelligence Service, spécialisé dans les analyses de cycle de vie (ACV) selon la norme internationale ISO 14 044. L'étude a ensuite été validée par un Comité de Revue Critique constitué d'un membre du Conseil national de l'Emballage, d'un expert ACV et d'une personne du WWF. Les résultats de l'analyse sont présentés en distinguant quatre étapes du cycle de vie : - la fabrication des matériaux de l'emballage, comprenant l'extraction, la production et le transport des matières premières constitutives des emballages. - Le remplissage et le conditionnement des emballages. - La distribution des produits emballés aux différents points de vente. - La fin de vie, qui couvre la collecte de l'ensemble des déchets générés sur le cycle de vie des emballages et leur traitement.

    Dans le cadre de cette synthèse, cinq indicateurs d'impacts environnementaux ont été sélectionnés, sur la base des préoccupations environnementales actuelles et de la robustesse de la méthodologie de quantification de ces indicateurs : - La contribution à l'effet de serre - La consommation d'énergie d'origine non renouvelable - La consommation de ressources non renouvelables telles les ressources fossiles et minérales. - L'acidification de l'air qui symbolise l'augmentation de la teneur en substances acidifiantes dans la basse atmosphère - L'eutrophisation qui est l'introduction de nutriments sous forme de composés phosphatés ou azotés perturbant les écosystèmes en favorisant la prolifération de certaines espèces (micro-algues, plancton...).

    L'impact environnemental des emballages pour 1 litre de lait : net avantage à la brique

    Tous les indicateurs démontrent que les impacts environnementaux des emballages de Tetra Pak sont significativement inférieurs à ceux de la bouteille plastique. Les écarts concernant les émissions en gaz à effet de serre, les consommations d'énergies et de ressources non renouvelables demeurent les plus importants puisque : - les émissions de CO2 de Tetra Brik 1L sont 42 % moins importantes que celles de la bouteille plastique - La bouteille plastique nécessite près du double d'énergie et de ressources non renouvelables par rapport à un emballage carton de Tetra Pak. Concernant les différentes étapes de vie des deux emballages majoritaires sur le marché du lait, seul l'indicateur relatif à la fin de vie est à l'avantage de la bouteille plastique. La raison en est simple, les Français trient davantage cet emballage. Malgré tout, le choix du carton (75 % d'un emballage Tetra Brik), issu du bois d'origine renouvelable et la conception même des emballages de Tetra Pak octroient à la brique un profil environnemental nettement meilleur que celui de la bouteille plastique.

    La vérité sur l'impact environnemental des emballages

    Tableau comparatif des émissions de Gaz à Effet de Serre des emballages pour liquides alimentaires tout au long de leur cycle de vie (pour les marchés du lait UHT et du jus de fruits ambiant).

    L'impact environnemental des emballages pour 1 litre de jus de fruit : le mythe environnemental du verre se brise
    Supposé vertueux pour l'environnement grâce à son recyclage et historiquement apprécié des Français, le verre n'en est pas moins un réel « fardeau écologique » lorsqu'on étudie son éco-profil tout au long de son cycle de vie. En effet, la fabrication du verre est extrêmement énergivore. De plus, durant tout son cycle de vie, la bouteille de verre génère une quantité de CO2 quatre fois supérieure à celle de la brique. Cet écart est notamment du au transport (25 fois plus de camions que pour un nombre équivalent d'emballages carton vides). Enfin le cycle de vie d'une bouteille de verre entraîne une acidification accrue de l'air (plus de 5 fois plus élevée que celle de la brique). Les impacts environnementaux de la brique sont donc significativement inférieurs à ceux de la bouteille en verre pour tous les indicateurs. Concernant la bouteille plastique PET, seul l'indicateur de l'acidification de l'air lui est favorable.

    L'impact environnemental des emballages pour 250 ml de jus


    Dans un monde ou le nomadisme va bon train, le consommateur est de plus en plus à la recherche de formats individuels, même si ils contribuent à la dégradation de notre environnement. Encore une fois, et même sur un format plus petit, le plastique ne s'avère pas être le meilleur choix pour l'environnement. Comme sa « grande soeur » d'1 litre, la bouteille plastique PET 250 ml est extrêmement vorace tant en termes d'énergie (+ 278 % vs la brique) que de ressources (+ 371 % vs la brique) non renouvelables. Même si le recyclage de la bouteille PET 250 est meilleur que celui de la brique, il ne suffit pas à compenser ses importantes émissions de CO2 générées, notamment, lors de sa fabrication. Ainsi, les émissions de CO2 générées par la bouteille plastique 250 ml sont plus de 3,5 fois supérieures à celles émises par une brique carton de même contenance. Rappelons toutefois que ce format doit être éviter dans les achats, le nomadisme ambiant n'est pas une raison valable pour multiplier les emballages jetables.

    Le choix d'un emballage ne doit plus se faire uniquement en fonction de sa recyclabilité

    L'analyse de cycle de vie réalisée par Bio Intelligence Service pour Tetra Pak met en évidence le fait qu'un emballage fortement recyclé n'est pas pour autant celui qui possède la plus faible empreinte écologique. C'est pourquoi l'analyse du cycle de vie est indispensable pour orienter les décisions. Pour exemple, le recyclage du verre requiert d'importantes consommations d'énergies et entraine de nombreuses émissions de CO2 qui ne sont absolument pas compensées par son fort taux de recyclage, bien au contraire ! Cette analyse de cycle de vie confirme le fait que le matériau qui compose majoritairement l'emballage est l'élément essentiel de son impact environnemental. Le premier avantage des emballages carton de Tetra Pak réside donc dans l'utilisation du bois issu de forêts gérées durablement et continuellement renouvelées. Ressource renouvelable par excellence, sa très faible empreinte carbone est un argument de poids face au pétrole, ressource épuisable à forte empreinte carbone, utilisé pour la bouteille plastique. L'autre point fort des briques alimentaires de Tetra Pak est leur éco-conception qui leur permet de peser 10 fois moins qu'une bouteille en verre et donc d'utiliser 10 fois moins de ressources naturelles. De plus, les emballages carton nécessitent, grâce à leur conception, 25 fois moins de transport que les contenants en verre (pour un million d'emballages vides).

    source :http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1644_verite_impact_environnement_emballages.php

     

     

    De la production au recyclage éventuel, l'ensemble des étapes de vie des principaux emballages a été analysé sur la base de plusieurs grands indicateurs environnementaux . Ainsi, bouteille plastique PEHD(1) (lait), bouteille plastique PET(2) (jus), bouteille verre, emballages carton de Tetra Pak ont été passés au crible de Bio Intelligence Service, spécialisé dans les analyses de cycle de vie (ACV) selon la norme internationale ISO 14 044. L'étude a ensuite été validée par un Comité de Revue Critique constitué d'un membre du Conseil national de l'Emballage, d'un expert ACV et d'une personne du WWF. Les résultats de l'analyse sont présentés en distinguant quatre étapes du cycle de vie : - la fabrication des matériaux de l'emballage, comprenant l'extraction, la production et le transport des matières premières constitutives des emballages. - Le remplissage et le conditionnement des emballages. - La distribution des produits emballés aux différents points de vente. - La fin de vie, qui couvre la collecte de l'ensemble des déchets générés sur le cycle de vie des emballages et leur traitement.

    Source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1644_verite_impact_environnement_emballages.php

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  • 17 novembre 2010 ; révision : 07 mars 2014, 10 h 45

    Point sur le recyclage des briques alimentaires Tetra Pak

    A quelques jours de la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets et du Salon de l'Emballage, Tetra Pak dresse le bilan du recyclage de ses produits en France. Que deviennent ses célèbres briques alimentaires ? Les emballages en carton pour liquides alimentaires font depuis longtemps l'objet de déclarations sur leur non-recyclabilité. Pourtant, Tetra Pak soutient qu'il s'investit depuis plusieurs années pour développer fortement le recyclage de ses emballages fabriqués pour la France à 3,8 milliards d'exemplaires en 2012, dans son usine de Dijon[1].

    La brique alimentaire, un emballage difficile à recycler ?

    Selon Tetra Pak, ses briques alimentaires sont composées de : 75 % de carton en moyenne, produit à partir de bois, donc de matière renouvelable, qui provient pour l'Europe de forêts nordiques exploitées selon le label FSC[2] 20 à 23 % de PolyEthylène (PE), un plastique qui garantit l'étanchéité et fait fonction de colle entre les différents matériaux[3]. 4 ou 5 % d'aluminium (bauxite) qui fait barrière à l'air, aux odeurs et à la lumière, permettant ainsi de mieux conserver le produit alimentaire. d'un décor extérieur (pour illustrer et identifier le produit). Pour l'impression des décors de ses clients sur les emballages, Tetra Pak utilise des encres à l'eau. En 2009, 83 000 tonnes de briques ont été produites : une brique alimentaire pèse donc en moyenne 27 g (contre environ 450 g pour une bouteille en verre) dont 5,7 g de plastique et 1,3 g d'aluminium. Or, la présence de plastique et d'aluminium fait souvent dire que le recyclage de la brique reste difficile d'un point de vue technique. Tetra Pak nous précise qu'il "suffit de plonger et de brasser les emballages dans un grand bac d'eau froide pour que le carton se désolidarise du polyéthylène et de l'aluminium. Cette première opération de recyclage est réalisée chez des papetiers, dans un pulpeur. La pulpe de carton est récupérée d'un côté pour fabriquer, entre autres, du papier toilette, de l'essuie-tout, ou encore des cartes en carton recyclé, utilisées comme support de communication. De l'autre, le polyéthylène-aluminium (PE-alu) est récupéré et transformé pour fabriquer divers objets comme du mobilier de jardin ou des piquets de vigne." En France, le tri sélectif aura permis de récupérer 36 000 tonnes d'emballages en 2009, soit 43% du gisement global d'emballages mis sur le marché. Le reste est mis en décharge ou incinéré. A comparer avec le taux de recyclage du verre qui est de 63 % sur la même année[4]. Conscient de cette lacune, Tetra Pak s'était fixé pour objectif de recycler 50% de ses briques alimentaires en 2012, en vain, 45% des emballages carton ont été recyclés en 2013 : l'objectif de 50 % a donc été repoussé à 2015. Au niveau mondial, en 2013, le taux de recyclage de ces emballages carton a atteint 24,5%. Tetra Pak s'est fixé comme objectif de doubler ce taux et atteindre 40% d'ici 2020.

    La récupération du carton par les papetiers

    Aujourd'hui, trois papetiers situés en France, en Espagne et en Allemagne, récupèrent les emballages triés de Tetra Pak, puis séparent les matériaux dans des pulpeurs: Georgia Pacific situé à Louviers dans l'Eure reçoit 6 000 tonnes d'emballages Stora Enso, situé à Barcelone (Espagne), reçoit 20 000 tonnes PNM, situé à Aix la Chapelle (Allemagne), reçoit 10 000 tonnes Grâce au recyclage de ces 36 000 tonnes d'emballages, les papetiers ont récupéré, en 2009, 25 000 tonnes de pulpe de carton, à partir des briques alimentaires. Cela aura permis de fabriquer divers produits en papier recyclé comme de l'essuie-tout, des boîtes à oeufs, des sacs à papier ou du papier toilette. Depuis 2011, un nouvel acteur a son entrée dans le paysage du recyclage des briques alimentaires : Lucart Group, papetier italien, spécialiste des produits à base de papier recyclé. Son nouveau site de Laval-sur-Vologne (France) permet de récupérer 10 000 tonnes auparavant traitées par le papetier PNM à Aix la Chapelle (Allemagne). Essuie-tout, papier toilette et mouchoirs sont issus exclusivement du recyclage du carton provenant des briques alimentaires.

    Que faire du plastique-aluminium (PE-alu) des emballages pour liquides alimentaires ?

    En France, les 36 000 tonnes de briques collectées et triées contiennent 9 000 tonnes de PE-alu : des matières plus compliquées à extraire et à recycler. En effet, selon Tetra pak, "une fois le carton des emballages récupéré chez les papetiers, la matière plastique / aluminium est toujours jusqu'à maintenant partiellement mise en décharge". Pour pallier cette lacune environnementale, Tetra Pak s'est rapproché de la PME Traidib, un laboratoire de recherche situé près de Nevers. Au regard de sa recyclabilité, le couple matière plastique / aluminium possède quelques propriétés : "matière stable, inerte, donc de qualité constante, le mélange est très résistant grâce à l'aluminium, ignifuge", indique Tetra Pak. Après deux ans de recherche, Traidib a réussi à transformer la matière refusée par les pulpeurs en matière secondaire. Depuis 2006, Traidib fabrique ainsi différents objets à base de PE-alu : piquet de vigne (80% de son chiffre d'affaire) et mobilier de jardin (tables et chaises) notamment à destination des collectivités locales. Malheureusement, la totalité des 9000 tonnes annuelles de plastique / aluminium ne peut prétendre à devenir des piquets et du mobilier de jardin. C'est pourquoi, Tetra Pak note que Stora Enso Barcelone, qui recycle plus de la moitié de la collecte française des emballages carton pour liquides alimentaires en 2009-2010, a récemment décidé d'investir dans un nouveau procédé : la gazéification. "Le principe consiste à faire chauffer le plastique-aluminium suffisamment pour faire évaporer le plastique. La chaleur émise par ce processus est récupérée pour chauffer la papeterie, pendant que l'aluminium est recueilli intact. Il sera ensuite revendu à l'industrie." Cela ressemble quelque peu à de l'incinération avec un système de cogénération pour récupérer la chaleur produite, sauf que l'aluminium est ici conservé. Rappelons que l'aluminium se recycle très bien et pratiquement indéfiniment.

    Le recyclage complet des briques alimentaires : un pari tenu ?

    Si Tetra Pak affirme que la totalité des matières entrant dans la composition de ses briques alimentaires peut être recyclée, force est de constater que les filières ne sont pas encore bien mûres et soulèvent de nombreuses interrogations. En effet, Tetra Pak considère que ses emballages "font depuis longtemps l'objet de déclarations infondées sur leur non-recyclabilité" : des critiques qui ne sont sans doute pas exemptes d'un fond de vérité. L'aluminium et le plastique semblent encore poser problème au fabricant : comme en témoigne la pseudo-solution de gazéification. Recycler, ce n'est pas incinérer ! En effet, il faudrait considérer les émissions toxiques qui en résultent. De plus, l'aluminium et le pastique, bien que largement répandus dans les biens de consommation courants, ne sont pas des matériaux écologiques : au-delà de leur potentiel en tant que déchets, ils sont produits selon des processus particulièrement polluants, risqués et énergivores, la catastrophe récente des boues rouges en Hongrie en est un exemple. C'est pourquoi Tetra Pak ambitionne de "développer un emballage entièrement renouvelable à long terme" selon ses déclarations. A ce titre, Tetra pak a doté, en 2013, plus d'un milliard de ses emballages d'un bouchon en polyéthylène haute densité (PEHD) fabriqué à partir de canne à sucre. Preuve que la composition actuelle de ses briques alimentaires n'est pas satisfaisante. Pour le moment, le meilleur emballage pour l'environnement est sans conteste celui que l'on produit en quantité raisonnable et qui est réutilisable à l'infini, sans recyclage. Tout produit à usage unique (et  donc jetable) reste un non-sens en écologie. Seul le verre mis en consigne et/ou réutilisé répond à cet impératif... Malheureusement la France n'a pas jugé rentable cette solution qui pénalise les industriels produisant des emballages : elle fut abandonnée au début des années 1990 alors que l'Allemagne votait en 1991 un décret annonçant un renforcement de celle-ci...

     Source http://www.notre-planete.info/actualites/2591-recyclage_briques_alimentaires

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  • 28 novembre 2013 ; révision : 26 février 2014, 11 h 48

    Un viticulteur refuse de traiter avec des pesticides : il encourt 30 000 euros d'amende et 6 mois de prison...

    Aujourd'hui, un viticulteur encourt 30 000 euros d'amende et 6 mois d'emprisonnement pour avoir refuser de traiter, à titre préventif, sa propre production avec des pesticides . Retour sur une affaire étonnante qui révèle l'incompatibilité et l'incompréhension entre deux modes de production agricole : le conventionnel et la biodynamie.

    Juin 2013 : dans le cadre de la lutte contre un insecte vecteur d'une maladie de la vigne, la cicadelle (Scaphoideus titanus), agent vecteur de la flavescence dorée[1], un arrêté préfectoral impose "dans toutes les vignes en production ou non (...) une application unique d'un insecticide disposant d'une autorisation de mise sur le marché pour cet usage." Ceci sur "l'ensemble des vignobles de la Côte d'Or excepté ceux du Châtillonnais et de l'Auxois". Emmanuel Giboulot, viticulteur engagé en biodynamie[2], un mode de culture relativement proche de l'Agriculture Biologique, exploite 10 ha de côtes-de-beaune et de hautes-côtes de nuits (chardonnay et pinot noir). Or, la biodynamie rejette catégoriquement l'épandage préventif de pesticides.

    Conformément a son mode de production, il refuse de traiter ses vignes contre la flavescence dorée au début de l'été 2013, comme l'exige l'arrêté. Comme d'autres viticulteurs qui s'y opposent, il s'expose alors aux dispositions pénales prévues à l'article L 251-20 du code rural et de la pêche maritime, c'est à dire "six mois d'emprisonnement" et "30 000 euros d'amende", rien que ça... Emmanuel Giboulot, exploitant bio[3], est alors contrôlé par la direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (Draaf), fin juillet et fait aujourd'hui l'objet d'une convocation devant le délégué du procureur de la République du tribunal d'instance de Beaune pour infraction au Code rural.

     Source : http://www.notre-planete.info/actualites/3876-vin-refus-pesticide-prison


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